Image tirée du film Alexandre Nevski
Au final, la belle saillie qui se voulait conquérante de Gouguenheim (Aristote au Mont Saint-Michel) finit un peu comme la Berezina, avant l'heure, filmée par Eisenstein en 38. On y voyait fuir les chevaliers teutoniques (l'un des thèmes d'étude de l'historien), sur cet air patriotico-ironique orchestré par Prokofiev. Il manquait sans doute à Gouguenheim le sens de l'espace (celui qu'Einsenstein le peintre déploie justement dans le film) pour penser de manière plus sérieuse la circulation du savoir au Moyen Age (relisons Juan Gernet, Libera, Urvoy etc.) et quelques textes de base (sur le monde musulman).
Au final, la belle saillie qui se voulait conquérante de Gouguenheim (Aristote au Mont Saint-Michel) finit un peu comme la Berezina, avant l'heure, filmée par Eisenstein en 38. On y voyait fuir les chevaliers teutoniques (l'un des thèmes d'étude de l'historien), sur cet air patriotico-ironique orchestré par Prokofiev. Il manquait sans doute à Gouguenheim le sens de l'espace (celui qu'Einsenstein le peintre déploie justement dans le film) pour penser de manière plus sérieuse la circulation du savoir au Moyen Age (relisons Juan Gernet, Libera, Urvoy etc.) et quelques textes de base (sur le monde musulman).
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