Le livre fini qui devient, bien sûr,
l’œuvre des autres. Non plus celle des 19 auteurs qui y mêlent leurs voix, mais celles des
lecteurs.
Prenons un jeune étudiant de SOAS
qui devra puiser dans son français scolaire et oublier la rave library party de la veille, pour chercher dans ces pages de quoi nourrir un devoir ou une thèse.
Peut-être ne devinera-t-il pas
que l’un des auteurs de l’introduction regrettera de ne pas avoir assez cité tel auteur (Wittgenstein peut-être), pour défendre son idée de relations de savoir. Mais il sera trop tard. A lui de deviner, de faire son chemin.
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